humeur

Une main voudrait arracher quelque chose Est ce la griffe d’un dragon égaré qui veut détruire tous ces petits pavillons Boites toutes pareilles Dans cet azur trompeur Les nuages effilochés se donnent pour monstres Signes, apparitions perturbant à peine...

Sécheresse chronique, disent ils....En plein hiver nous savons déjà que l'eau va continuer à manquer, pas de pluie, pas de neige ou si peu, rivières mortes, nappes phréatiques à vide, fonte de glaciers, disparition progressive de la banquise, oh là là...

Oh bon, finalement....Suis encore là, avec ma petite pollution numérique....Difficile de décider vraiment, arrêter ou pas de soliloquer sur ce blog, choix pas fait, écrire et puis c'est tout, mais écrire ne va pas de soi, enfin bref, me revoili là, ah!...

Flop flop, entre deux tours au suspens intolérable, Jean-Luc et Emmanuel vont ils cohabiter? Les chemises se mouillent, les fronts s'épongent, excitation de la sphère médiatique, qui ne parlent que de ça (un peu d'Ukraine quand même, la guerre, les céréales,...

Tandis que tout le monde se vautre dans une piscine de balle en plastique avec éclairage mauve, rose, bleu et la musique planante ou techno à donfle, chacun brandit son portable," je me filme " dans la mer/ à deux/de /balles, c’est de l’art « pop » ,...

Alors là, ça bloque sérieux, autant l'avouer. Novembre enfonce son pieu d'incertitude et de désarroi, soleil et couleurs flamboyantes n'y changent rien, mélancolie et à quoibonisme font insidieusement leur grand retour...Cette mort lente de la nature...

J’aime bien être au fond du trou de là je regarde vers le haut-le très haut- Je peux imaginer l’air bruissant le luxe, la douceur Les parfums languissant Pas besoin d’effleurer la pâleur de son cou L’étoffe soyeuse de cette peau désirée Non, au fond pas...

Dans une société mondialisée, de plus en plus clivée, anti-tout et n'importe quoi, encore une fois le silence semble la seule issue. Éteindre le bruit des autres, ne plus perdre de temps à discuter, s'opposer,s'insurger, ne plus perdre cette énergie précieuse...

Flottant dans l’océan vert/gris sous un ciel d’ardoise, tu te sens infiniment privilégiée. Tu savoure cet instant béni avec joie comme une gosse. Car un jour nous ne pourrons plus nager dans les mers, peut être même de ton vivant. L’eau sera trop polluée...

Comme c'est étonnant, passer de la mort à la renaissance Du désert gris à l'effervescence, De la boue et des arbres nus à l'exubérance des couleurs Chaque année cet éternel retour du fond du trou à sec à la sève vivifiante, cette pâmoison fleurie des...